Après la colère, le dépit ,le désespoir , j’étais comme dans une sorte de transe quand j’ai marché sur ce pont…Une voix au fond de la seine semblable aux chants des sirènes m’appelait en me disant » cela ne sert à rien de souffrir rejoins moi »…J’ai enjambé la rambarde et je m’y suis jeté…Ce qu’il reste de moi pas grand chose à part la bicyclette que j’avais laissé un peu plus bas….