C’est le phare.
Et nous
Sur les marches de l’imagination
Devinons les flots où ils vont.
Tu me serres fort maintenant.
Sur ce rocher
Illuminé par la lune
Pendant que la mer me mouille,
Avec des éclaboussures de topaze parfumée.
Cela me donnes la chair de poule.
Dans la nuit sombre
Je peux aussi entendre
Les notes guttural des sirènes.
La vision de cette
neige me rend mélancolique.
On boit de l’absinthe,
Pour chauffer la pensée
Pour sublimer
Le point culminant du moment.
Oui, c’est le phare.
Sa lumière me guide
Au-dessus de mes feuilles
Enroulés sur la vague de retour.