Aspigirletalors Un site utilisant unblog.fr

Une fille est toujours un mystère : il ne reste plus qu’à se fier à son visage et à l’inspiration de son cœur.

il y a un moment à chaque aube Où la lumière est suspendue ; Un instant magique où tout peut arriver. La création retient son souffle.

Je n’ai pas arrêté de penser à toi. J’aimerais te le dire. J’aimerais t’écrire que j’aimerais revenir, Que tu me manques Et je pense à toi. Mais je ne te cherche pas. Je ne t’écris même pas. Je ne sais pas comment tu vas. Et ça me manque de le savoir. Tu as des projets ? Tu as souri aujourd’hui …

tu seras aimé le jour où tu pourras montrer ta faiblesse sans que l’autre s’en serve pour affirmer sa force

Il y a des moments Où tu es vraiment ailleurs. En dehors de tout. Hors de toi. Complètement à l’intérieur d’une autre âme…

Dans une autre vie, je t’aurais écrit. Je t’aurais demandé de courir chez moi. Pour faire l’amour, Parce que je ne faisais que penser à toi Toute la journée Non, désolé, toute la semaine. Le mois. La vie.. tout simplement parce que je t’aime  

je t’ai aimé comme jamais. Tu es entré dans ma vie comme on entre l’été. Je ne ressens ni colère, ni regret. Les moments que tu m’as donné ont un nom : L’enchantement. Ils l’ont toujours, ils sont faits de ton éternité. Même sans toi je ne serai plus jamais seule, parce que tu existes quelque part.

Accroche-toi à mon bras, accroche-toi. Nous visiterons des lieux sombres, mais je crois que je connais le chemin. Ne me lâche pas la main. Et si je devais t’embrasser dans le noir, ce ne sera rien de grave : C’est juste parce que tu es mon amour…

Sur les bancs du temps Mon âme reste assise À regretter qui est parti, À attendre qui n’est jamais arrivé. Sur les bancs du temps Mon âme a le parfum des souvenirs Et la couleur de la nostalgie. Sur les bancs du temps Ce sont des morceaux de ma vie. Et moi j’avance Avec ce qu’il reste.

Elle est bizarre cette vie. certains jours, tout apparaît beaucoup plus grand : un amour perdu, la peur, la pauvreté, la solitude…. Les souvenirs.