Toujours cher j’ai été cette esseulée col, Et cette haie, qui depuis si longtemps Du dernier horizon le regard exclut. Mais s’asseoir et viser, interminables Espaces par là, et surhumains Des silences, et de la tranquillité Moi, dans mon esprit, je fais semblant. Le coeur ne ‘effraie pas. Et comme le vent J’entends dormir entre ces plantes, moi ça et …
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