Lors d’une journée d’été aride.
Suspendue, sur un horizon indéfini,
Proie à des milliards de couleurs,
Allongé sur la ligne de la vague.
Je ne vois rien mais je suppose.
J’imagine et je rêve.
Je rêve et j’existe.
Et L’horizon peut être tenu sur la paume d’une main.
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