C ‘ est vrai que nous sommes forts. Que nous n’avons besoin de personne. Que nous nous suffisons.
Que nous devons quand même nous aimer.
Mais comme ce serait bien, de temps en temps, pas toujours, d’avoir un ′′ je t’aime « , sentir un ′′ tu me manques « , attraper un ′′ je pense à toi « . Même les indépendants ont besoin d’être important pour quelqu’un. Compter, sans être que des chiffres.