J’imaginais l’automne à tes côtés,
Avec les samedis après-midi,
Paresseux avec les jambes tendrement entrelacées
entre les draps fraichement,
entre les écrans, les pauses, les pensées.
J ‘ imaginais les derniers couchers de soleil d’été
à l’ouest le long des côtes désertes,
main dans ma main,ma tête contre ta poitrine,
ou vice versa, peu importe.
Je t’aurais appris de nouveaux mots, des gestes,
sensations, frissons