Nous avons tous une peau spéciale. Sur le cou. Très près de la gorge. Un refuge protégé du reste du monde où les miracles se produisent. On le garde loin des yeux secrets, on préfère le garder caché, fermé, inaccessible au plus grand nombre. Seules quelques personnes ont l’honneur de se connecter à cette partie sacrée de nous.
Le bonheur est toujours le même, mais le malheur peut avoir des variations infinies, comme disait aussi Tolstoï. Le bonheur est un conte de fées, le malheur un roman.
Beaucoup se trompent en croyant me connaître, basé sur les apparences. Ils pensent pouvoir m’étiqueter et même me juger. Mais ils se trompent, parce que rien n’est ce qu’il paraît. Pour me connaître , il faut passer beaucoup de temps avec moi.
Il y a des âmes qui existent pour se rencontrer et qui finiront par le faire. Parce que les âmes conscientes savent attendre, reconnaître et communiquer. Ça arrive rarement, mais quand ça arrive, ça commence une sorte de « connexion » mystérieuse. Les âmes gentilles parlent même de loin. Elles se sentent toujours proches…
Je veux nager dans une mer de café, avec des vagues de mousse de cappuccino et une plage de miettes de croissant.
Nous sommes pour quelques-uns parce que ces rares personnes creusent profond
Alors elle finit par penser à lui comme elle n’avait jamais imaginé qu’elle pouvait penser à quelqu’un, le prévoyant là où il n’était pas, lui souhaitant là où il ne pouvait pas être, se réveillant soudainement avec la sensation physique qu’il la contemplait dans le noir alors que Il dormait.
Si seulement nous pensions que ce jour qui arrive n’est pas un jour de plus, mais un jour de moins, peut-être, et je dis peut-être, nous serions mieux.
Chaque fleur qui fleurit parmi les sourcils émeraudes de l’herbe est un signe que malgré tout, il y a encore une raison d’espérer.
Bonne journée, à toi qui a transformé mes pensées en sourires, et mes sourires en battements de cœur.
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